Comme je l'ai mentionné plus tôt,, nous aurions préferé voyager avec "Cruz del Sur".
Mais pour cette étape, je m'y suis pris trop tard, donc nous voila "bookés sur "San Cristobal del Sur,
une petite Sté de transport, moins connue que "Cruz del Sur".
Les réservations et la vente de tickets sont organisées par "Ormeño"
Le Taxi vient de nous déposer a la gare des autobus. Nous sommes légèrement en avance, et à cette heure 6h45 la gare bouillonne de monde.
Aréquipa est un croisement international, on peut aller de Aréquipa au Chili ou en Bolivie, tout cela en bus a des prix relativement bon marché, en fait il y a tous les prix. Certain bus sont parait il en moins bon entretien que d'auteres, il y a des accidents de temps, a autres.
Il y a quelques "touristes" comme nous, tres peu, la plus parts des voyageurs sont des gens du cru, des indios habillés en vetements traditionnels, avec chapeaux et panchos multicouleurs en plus ou moins bout état et des baggages qui ne ressemblent pas du tout aux notres
Apres une bonne demi-heure d'attente notre destination est appelés et nous remettons nos valises au comptoir pour embarquement.
Voici notre autobus
Le bus est tres joliment peint et a été entierement nettoyé de l'extérieur. il brille, cette photo a été prise a mi-chemin en gare de Juliaca. |
lorsque nous sortons de l'enceinte de la gare.
Bus Extrait du Guide du routard <ici>
C'est le principal moyen de transport au Pérou. Les bus vont partout. Pour rejoindre les villages ou les villes en dehors des grands axes, vous devrez souvent changer de monture et prendre des compagnies locales ou régionales bon marché mais au confort limité et au niveau sonore élevé.
Ces compagnies locales s'arrêtent un peu partout au bord de la route (il suffit de leur faire signe), les horaires sont donc assez peu fiables. Si le trajet est long, le bus s'arrête en général pour une pause pipi et/ou repas.
Pour les liaisons entre les villes les plus importantes, il existe des compagnies nationales qui, elles, proposent différents niveaux de confort. Cela va des buseconomico au VIP, imperial, etc. Les moins chers sont des bus ordinaires sans AC ni toilettes.
Les plus luxueux vont jusqu'à proposer des repas à bord. Dans cette catégorie, on trouve des bus à deux étages avec des sièges plus ou moins inclinables, appelés cama et semi-cama. Pour un long voyage, nous vous recommandons vraiment les cama. Il n'est pas rare qu'un même bus propose les deux types de sièges.
Ces compagnies locales s'arrêtent un peu partout au bord de la route (il suffit de leur faire signe), les horaires sont donc assez peu fiables. Si le trajet est long, le bus s'arrête en général pour une pause pipi et/ou repas.
Pour les liaisons entre les villes les plus importantes, il existe des compagnies nationales qui, elles, proposent différents niveaux de confort. Cela va des buseconomico au VIP, imperial, etc. Les moins chers sont des bus ordinaires sans AC ni toilettes.
Les plus luxueux vont jusqu'à proposer des repas à bord. Dans cette catégorie, on trouve des bus à deux étages avec des sièges plus ou moins inclinables, appelés cama et semi-cama. Pour un long voyage, nous vous recommandons vraiment les cama. Il n'est pas rare qu'un même bus propose les deux types de sièges.
Les accidents de car ne sont pas rares au Pérou. Ces derniers sont dus au manque d'entretien des véhicules, à la fatigue des chauffeurs (et à la conduite imprudente de certains) et à l'état des routes. Quelques compagnies sont réputées pour leur fiabilité, à commencer par Cruz del Sur, la plus chère, qui offre un bon niveau de confort, emploie deux chauffeurs par bus et utilise un GPS pour les localiser en permanence. Citons aussi Oltursa, Móvil Tours et Linea, qui offrent des prix moyens et un bon service.
De bonnes compagnies à leur début comme Flores, Ormeño ou Cial ont désormais une flotte mal entretenue et plusieurs accidents sont à déplorer ces dernières années.
De bonnes compagnies à leur début comme Flores, Ormeño ou Cial ont désormais une flotte mal entretenue et plusieurs accidents sont à déplorer ces dernières années.
Le bus est très beau bus de l’extérieur, c'est un bus de marque SCANIA, mais l’intérieur est bien vieillot, les ceintures de sécurité sont inutilisables (coupées), les sièges sont de simples fauteuils de bus recouverts d'un tissus bleu clair baruiollé de bleu et de jaune.
La clim ne fonctionne pas, la musique très forte est diffusée au travers de vieux haut parleurs grésillant. Bref cela na rien a voir avec le bel autobus que nous avions de Lima a Aréquipa.
Nous quittons finallement Aréquipa et le bus s'arrête ici et là. Des vendeur de tamales montent pour vendre leur marchandise et redescendentent au carrefours suivant, une indiennes avec une couverture nouée remplie de bouteille de sodas et d'eau vient également d'embarquer et nous propose ses boisons.
Le jour vient de se lever et le traffic est dense a la sortie de la ville.
Un individu monte et commence à nous raconter des contes, il nous distribue des bonbons aux fruits. Curieusement il les appele des "caramelos".
Après nous avoir raconter quelques histoires qui parraîssent marrantes, le bus explose de rires.
Il commence alors un jeu, style radio crochet des années cinquantes. Ceux qui ont notre ȃge se rappellentbonne de ces jeux ou des questions sont posées et il s'agit de trouver la réponse. Notre voisin est excellent il répond correctement plusieurs fois et à chaque fois il est récompensé, d'un ou de deux "caramelos" supplémentaires. Il y a des questions a 3 "caramelos" et des questions a 1 "caramelo".
au bout de 7 minutes environs, il fait une quette, 1 sol par personne, minimum, et tout le monde doit payer. Le bus s'arrête a la sortie de la ville et il descent.
Cet artiste indépendant vient de terminer son "one man show". Le folklore Péruvien c'est aussi cela.
J'imagine que dans les prochaines minutes il va s'embarquer dans un bus allant dans l'autre sens.
Cette petit étape avec "San Chrispobal" nous a permi de voir un aspect différent.
C'est maintenant l'heure du film. Un employé vient de mettre un DVD dans le lecteur situé a l'étage. C'est un Jean Claude Van Dame, doublé en espagnol. Mon épouse met ses boulles "quies", et moi mon Ipod.
Nous passons par un col de 4 410 metres d'altitude. La les oreilles ont mal et il devient difficile de respirer. Nous machons des feuilles de coca. :-) |
Nous venons de passer les 4410 metres |
Nous commençons a redescendre |
Voila d'autre Photos, un paysage tout a fait arride.
Paysage arride |
Les abords de Juliaca |
Apres quelques heures, nous arrivons a Juliaca (site de la municipalité de Juliaca)
Premier rond point, "Bienvenidos a Juliaca" |
La ville de Juliaca vue du Bus.
Un tobagan, nous en verrons plusieurs dans la ville de Juliaca |
Le stand de repas |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
Il n'y a pas de crépis sur les murs, les briques sont apparentes. Certains immeubles n'ont pas ou peu de fenêtres installées. (une fenêtre sur deux).
Seule la route principale est bitumée.
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
JULIACA située entre Arequipa et Puno Egalement enre PUNO and CUZCO |
Interdit de marcher sur l'herbe Prohibido ingresar aréa verde" |
Gare des autobus de Juliaca, arrêt d' une dizaine de minutes.
Peu importe le bus quand on a le paysage LOL, et les bus afghans ils etaient meilleurs mon cher Mike ? Saludos.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerje remplace le message supprimé.
RépondreSupprimerA cette époque , le comfort m'importait peu, Mais aujourd' hui, le temps a passé et je deviens de plus en plus difficile pour avoir la sécurité et le bien-etre, surtout lorsqu'il s'agit de dépenser un tout petit peu plus, et que je peux me le permettre.
Le comfort dans le bus c'est bien.
11 octobre 2011 18:32